Zone Interdite est depuis trente ans le magazine qui documente et décrypte les bouleversements de la société française. Réalisées sur la durée, les enquêtes diffusées dans l’émission révèlent les tabous, les passions et les combats des Français au cœur de l’actualité.
En ville ou à la campagne, des milliers de fêtes et de foires sont organisées en France et leur succès grandit chaque année ! Evènements populaires et festifs, c’est l’assurance de passer un bon moment en famille, tout en faisant de bonnes affaires !
Une maison de vacances les pieds dans l’eau ou un coin de verdure à la campagne pour profiter des week-ends, c’est le rêve de nombreuses familles.! Mais en France, avec la hausse des prix de l’immobilier et les taux d’intérêts qui explosent, ce projet devient inaccessible pour de nombreux Français. Alors pour trouver leur coin de paradis, certains n’hésitent pas à franchir nos frontières. Un riad au Maroc pour quarante-deux mille euros, une maison de pêcheurs sur une île grecque à cinquante mille euros, une cabane au cœur de la forêt finlandaise ou une maison avec une vue de rêve sur la Costa Blanca espagnole pour cent-quatre-vingt mille euros... Nous avons suivi des familles qui ont trouvé des pépites ! Leur stratégie : s’éloigner un peu des zones déjà saturées. Ils ont fait l’affaire de leur vie, mais avant de profiter de leurs vacances, il y a de nombreux obstacles à franchir. Entre la barrière de la langue et les déboires administratifs, quels sont les pièges à éviter ? Ils vont devoir s’armer de patience et déployer une sacrée énergie pour mener à bien leurs projets. En Grèce, Marc et Julie, deux enseignants, ont déniché la perle rare. Oubliées les îles de Mikonos et Santorin, déjà saturées et très chères. Sur une petite île de seulement deux-mille habitants, ils ont acheté pour à peine cinquante mille euros une ancienne maison de pêcheurs. Une habitation à fort potentiel mais avant de pouvoir en profiter toute l’année, il leur reste de gros travaux à faire et notamment installer l’eau chaude. Leur challenge : faire venir les matériaux nécessaires sur cette île isolée et surtout, s’entendre avec les ouvriers qui parlent uniquement le grec. C’est le risque car se lancer dans de gros travaux à l’étranger peut vite tourner au casse-tête. Depuis six ans, Tony, un Marseillais de 55 ans, a commencé un lourd projet de rénovation. Il a acheté un riad à Fès, au Maroc, pour quarante-deux mille euros. Un petit bijou d’architecture locale en plein cœur de la vieille ville mais les travaux sont titanesques. Son chef de chantier a beau le tenir au courant par visioconférence, rien ne se passe comme prévu. Il rêve pourtant d’inviter toute sa famille à Noël. Mais le petit palais sera-t-il enfin prêt ? Eddy et Aurélie ont eux aussi fait un pari un peu fou : il y a six mois, ce couple d’Arcachon (Gironde) a acheté une résidence secondaire sans même l’avoir visitée ! Ils ont craqué pour une maison, située à deux pas de la plage, à Calpe, sur la Costa Blanca, une des zones touristiques les plus recherchées du littoral espagnol. Leur maison de quatre-vingt-dix mètres carrés a besoin d’un gros rafraîchissement et ils doivent faire vite. Car pour rentrer dans leurs frais, ils veulent louer leur nouvelle acquisition dès que possible. Rénovation express et visite avec des agents immobiliers locaux, ils vont découvrir les joies du marché espagnol, bien différent des règles françaises. Et puis, il y a ceux qui vont chercher le soleil dans des endroits inattendus. Cap au Nord avec Mikael et Sandrine… Pour quatre-vingt-dix mille euros, ces Montpelliérains se sont offerts une maison de cent-trente mètres carrés au cœur de la forêt finlandaise. C’était le rêve de Mikael et, aujourd’hui, il tente de convertir sa femme aux joies des grands espaces. Problème : elle ne supporte par le froid ! Or ici, en hiver le thermomètre peut atteindre -30°C. Comment va-t-il s'y prendre pour faire aimer à Sandrine les contrées finlandaises ?
À vélo, en roulotte ou en péniche, les vacances itinérantes ont la cote ! De plus en plus de familles choisissent ces séjours, promesse de liberté et de découvertes, à petit budget.
C'est un renversement inédit : depuis quatre ans, on compte plus d’ouvertures que de fermetures d’usines en France !
Zone Interdite est depuis trente ans le magazine qui documente et décrypte les bouleversements de la société française. Réalisées sur la durée, les enquêtes diffusées dans l’émission révèlent les tabous, les passions et les combats des Français au cœur de l’actualité.
Une maison de vacances les pieds dans l’eau ou un coin de verdure à la campagne pour profiter des week-ends, c’est le rêve de nombreuses familles.! Mais en France, avec la hausse des prix de l’immobilier et les taux d’intérêts qui explosent, ce projet devient inaccessible pour de nombreux Français. Alors pour trouver leur coin de paradis, certains n’hésitent pas à franchir nos frontières. Un riad au Maroc pour quarante-deux mille euros, une maison de pêcheurs sur une île grecque à cinquante mille euros, une cabane au cœur de la forêt finlandaise ou une maison avec une vue de rêve sur la Costa Blanca espagnole pour cent-quatre-vingt mille euros... Nous avons suivi des familles qui ont trouvé des pépites ! Leur stratégie : s’éloigner un peu des zones déjà saturées. Ils ont fait l’affaire de leur vie, mais avant de profiter de leurs vacances, il y a de nombreux obstacles à franchir. Entre la barrière de la langue et les déboires administratifs, quels sont les pièges à éviter ? Ils vont devoir s’armer de patience et déployer une sacrée énergie pour mener à bien leurs projets. En Grèce, Marc et Julie, deux enseignants, ont déniché la perle rare. Oubliées les îles de Mikonos et Santorin, déjà saturées et très chères. Sur une petite île de seulement deux-mille habitants, ils ont acheté pour à peine cinquante mille euros une ancienne maison de pêcheurs. Une habitation à fort potentiel mais avant de pouvoir en profiter toute l’année, il leur reste de gros travaux à faire et notamment installer l’eau chaude. Leur challenge : faire venir les matériaux nécessaires sur cette île isolée et surtout, s’entendre avec les ouvriers qui parlent uniquement le grec. C’est le risque car se lancer dans de gros travaux à l’étranger peut vite tourner au casse-tête. Depuis six ans, Tony, un Marseillais de 55 ans, a commencé un lourd projet de rénovation. Il a acheté un riad à Fès, au Maroc, pour quarante-deux mille euros. Un petit bijou d’architecture locale en plein cœur de la vieille ville mais les travaux sont titanesques. Son chef de chantier a beau le tenir au courant par visioconférence, rien ne se passe comme prévu. Il rêve pourtant d’inviter toute sa famille à Noël. Mais le petit palais sera-t-il enfin prêt ? Eddy et Aurélie ont eux aussi fait un pari un peu fou : il y a six mois, ce couple d’Arcachon (Gironde) a acheté une résidence secondaire sans même l’avoir visitée ! Ils ont craqué pour une maison, située à deux pas de la plage, à Calpe, sur la Costa Blanca, une des zones touristiques les plus recherchées du littoral espagnol. Leur maison de quatre-vingt-dix mètres carrés a besoin d’un gros rafraîchissement et ils doivent faire vite. Car pour rentrer dans leurs frais, ils veulent louer leur nouvelle acquisition dès que possible. Rénovation express et visite avec des agents immobiliers locaux, ils vont découvrir les joies du marché espagnol, bien différent des règles françaises. Et puis, il y a ceux qui vont chercher le soleil dans des endroits inattendus. Cap au Nord avec Mikael et Sandrine… Pour quatre-vingt-dix mille euros, ces Montpelliérains se sont offerts une maison de cent-trente mètres carrés au cœur de la forêt finlandaise. C’était le rêve de Mikael et, aujourd’hui, il tente de convertir sa femme aux joies des grands espaces. Problème : elle ne supporte par le froid ! Or ici, en hiver le thermomètre peut atteindre -30°C. Comment va-t-il s'y prendre pour faire aimer à Sandrine les contrées finlandaises ?
À vélo, en roulotte ou en péniche, les vacances itinérantes ont la cote ! De plus en plus de familles choisissent ces séjours, promesse de liberté et de découvertes, à petit budget.
De la Baie de Somme aux immenses plages de Dunkerque, en passant par les pavés lillois : le Nord séduit chaque année de plus en plus de touristes, même en plein été. Dix millions de visiteurs y ont séjourné en 2022, un record que les Ch’tis comptent bien battre cet été. Cette région recèle de nombreux trésors : des traditions bien ancrées, une gastronomie populaire et festive, et la sympathie légendaire de ses habitants. Fanfares, frites, plages, et si c’était la recette magique des vacances réussies ? Qui sont ceux qui font vivre avec fierté les traditions et le patrimoine du Nord ? Découverte d’une région ultra-populaire avec ceux qui la réinventent et attirent chaque été plus de touristes. À une heure de route de Lille, la plage de Malo-les-Bains a été consacrée « Reine des plages du Nord ». Quinze kilomètres de sable fin qui s'étirent de Dunkerque à la frontière belge. Et pour la région, un nouvel enjeu : faire de cette ville la station tendance de la Côte d’Opale. Des demeures Belle Époque, des restaurants et désormais, un hôtel quatre étoiles. La saison estivale sera-t-elle un succès ? Quand on séjourne dans le Nord, impossible de ne pas se laisser tenter par une barquette de frites. La frite ne fait pas partie du folklore du Nord, elle a fait le Nord ! Et elle a lancé d’incroyables sagas familiales, comme celle de Jean-Paul, fils de mineur du Pas-de-Calais. En 1969, il achète une caravane trois-mille-six-cents francs et ouvre sa première baraque à frites. Cinquante ans plus tard, il est à la tête des friteries les plus populaires du Nord, rendues célèbres par le film « Bienvenue chez les Ch’tis ». Comme tous les ans, il va s’installer à la Braderie de Lille. Mais la concurrence sera féroce. À quelques rues de sa baraque à frites, Florent Ladeyn, le jeune chef prodige du Nord, attire les foules. Passé par Top Chef, ce cuisinier, passionné par ses Flandres natales, est un alchimiste qui réussit un tour de force : cuisiner uniquement des produits cultivés à cinquante kilomètres à la ronde et pas toujours très appétissants ! Il a déjà obtenu une étoile au Guide Michelin et s’apprête à ouvrir trois nouveaux établissements dans la région. Prochaine ouverture à Béthune (Pas-de-Calais), une ville pas forcément très touristique. Avec quelles recettes compte-t-il attirer la clientèle ? À Arras (Pas-de-Calais), des dizaines de milliers de personnes se retrouvent chaque été pour célébrer la fête de l’Andouillette. Évènement incontournable du weekend : la parade des Géants, au son de la fanfare ! Cet été, la Vaillante, la troupe la plus primée de France, va régaler les touristes avec ses reprises de tubes actuels mais aussi des chansons populaires et connues de tous. Intégrer une telle institution est un rêve pour de nombreux jeunes du coin. Mais la sélection est exigeante. Il faut savoir jouer d’un instrument, bouger en rythme et avoir l’esprit d’équipe ! Les nouvelles recrues seront-elles prêtes pour le plus grand festival européen de « Marching Band » en Allemagne ? La Vaillante défendra l’honneur de sa région face aux meilleures équipes européennes. À Caudry (Nord), la famille Bracq défend elle aussi un incontournable du terroir nordiste : la dentelle. Dans leurs ateliers, ils tissent l’excellence depuis 1889. Julien, 35 ans, représente la cinquième génération de la famille. Passionné par son métier, il se bat pour faire perdurer son activité. Si l’essentiel de son chiffre d’affaires provient de l’étranger, il tient avant tout à partager son exceptionnel savoir-faire avec les touristes qui découvrent dans ses ateliers les métiers à tisser et les techniques ancestrales de la dentellerie.
Il a beau être caché au cœur de l’Auvergne, le PAL attire chaque été plus de 700 000 visiteurs ! C’est l’un des parcs de loisirs préférés des Français. Et voici la recette qui a fait son succès : associer zoo et parc d’attractions.
Une cinquantaine d’îles protégées du grand large. Des eaux turquoises, des plages préservées. Une végétation généreuse. Ce paradis, c’est le Golfe du Morbihan, qui signifie « petite mer » en breton. Une destination encore méconnue il y a vingt ans, mais qui attire aujourd’hui de plus en plus de Français : trois millions viennent s’y ressourcer chaque été. Il est pourtant encore possible d’y passer des vacances de « Robinson » dans un cadre de rêve accessible à tous. À l’image de la famille Largeron, originaire de la région de Saint-Étienne (Loire), on peut par exemple louer pour 1 200 euros la semaine une maison les pieds dans l’eau sur une petite île avec pour seuls voisins un couple de maraîchers qui vit ici à l’année. Dépaysement garanti ! Le succès grandissant de ces lieux magiques est aussi une opportunité pour les locaux. Vira et François-Régis, issus d’une vieille famille de Vannes (Morbihan), ont investi jusqu'à leur dernier centime dans un magnifique yacht prêt à recevoir des fêtes privées. Ils comptent bien être au cœur de l’évènement cet été. Le Golfe du Morbihan, c’est aussi un terroir d’une qualité rare qui participe à la réussite des vacances. Nous avons aussi suivi Ivan, qui incarne la cinquième génération d'ostréiculteurs de sa famille. Son enjeu de l’été : convaincre sa fille Romane, vingt-deux ans, de lui succéder. Les équipes de Zone Interdite se sont immergées tout un été avec ces Français, amoureux fous de ce joyau breton : le Golfe du Morbihan.
À la campagne ou à la mer, en famille ou entre amis, depuis la crise sanitaire, de plus en plus de Français craquent pour une résidence secondaire. En un an, la demande a augmenté de 30%.