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  • Rapt parental : Camille, 5 ans, portée disparue (2/2)
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    Rapt parental : Camille, 5 ans, portée disparue (2/2)
    52:26Aujourd'hui
    Magazine | CrimeFévrier 2022, sur les bords du Lac Léman. C’est à la faveur d’un simple contrôle routier que va se résoudre l’une des affaires les plus mystérieuses de ces dernières années. Alors qu’elle est recherchée depuis 2011 pour l’enlèvement de sa fille Camille, alors âgée de 5 ans, Priscilla Majani est arrêtée par la police suisse. À 500 kilomètres de là, dans le sud de la France, l’ex-mari de la fugitive, Alain Chauvet, retrouve l’espoir de revoir la fillette. Jamais, pendant 11 ans, il n’a cessé de remuer ciel et terre pour retrouver Camille. Seulement, les retrouvailles ne vont pas du tout se passer comme prévu. En effet, d’anciennes accusations refont surface : le père de famille aurait violé sa très jeune fille à de multiples reprises. Des faits que l’enquête de police réalisée à l’époque n’a pas permis de démontrer mais qui ont poussé Priscilla Majani à tout mettre en œuvre pour que Camille ne revoie plus son père. Avant de s’évanouir dans la nature, la mère et la fillette ont été en contact avec un personnage sulfureux : un certain Stan Maillaud. L’homme, ancien gendarme et figure du milieu complotiste, se serait spécialisé dans les kidnappings d’enfants abusés par leurs pères. Mais ensuite, que s’est-il passé ? Comment Priscilla Majani et la petite Camille ont-elles pu vivre si longtemps dans la clandestinité sans éveiller le moindre soupçon ? À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la disparition de la petite Marion Wagon, 10 ans, le 14 novembre 1996 en plein centre d’Agen (Lot-et-Garonne). Son histoire a profondément marqué les Français. Jamais auparavant une disparition d’enfant n’avait été autant relayée : tout le monde se souvient du visage de la fillette imprimé sur dix millions de briques de lait. Près de 30 ans plus tard, la vérité est peut-être enfin à portée de main. Car deux pistes ont peut-être été négligées. D’abord, celle de François Vérove, alias « le Grêlé » : le mode opératoire du kidnappeur de Marion rappelle ce prédateur sexuel qui s’est suicidé en septembre 2021. Et puis il y a cet autre suspect, interrogé dès le début de l’enquête : les enquêteurs disposaient d’un témoignage l’incriminant mais une décision inattendue avait éloigné les soupçons qui pesaient sur lui…
  • Rapt parental : Camille, 5 ans, portée disparue (1/2)
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    Rapt parental : Camille, 5 ans, portée disparue (1/2)
    54:26Aujourd'hui
    Magazine | CrimeFévrier 2022, sur les bords du Lac Léman. C’est à la faveur d’un simple contrôle routier que va se résoudre l’une des affaires les plus mystérieuses de ces dernières années. Alors qu’elle est recherchée depuis 2011 pour l’enlèvement de sa fille Camille, alors âgée de 5 ans, Priscilla Majani est arrêtée par la police suisse. À 500 kilomètres de là, dans le sud de la France, l’ex-mari de la fugitive, Alain Chauvet, retrouve l’espoir de revoir la fillette. Jamais, pendant 11 ans, il n’a cessé de remuer ciel et terre pour retrouver Camille. Seulement, les retrouvailles ne vont pas du tout se passer comme prévu. En effet, d’anciennes accusations refont surface : le père de famille aurait violé sa très jeune fille à de multiples reprises. Des faits que l’enquête de police réalisée à l’époque n’a pas permis de démontrer mais qui ont poussé Priscilla Majani à tout mettre en œuvre pour que Camille ne revoie plus son père. Avant de s’évanouir dans la nature, la mère et la fillette ont été en contact avec un personnage sulfureux : un certain Stan Maillaud. L’homme, ancien gendarme et figure du milieu complotiste, se serait spécialisé dans les kidnappings d’enfants abusés par leurs pères. Mais ensuite, que s’est-il passé ? Comment Priscilla Majani et la petite Camille ont-elles pu vivre si longtemps dans la clandestinité sans éveiller le moindre soupçon ? À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la disparition de la petite Marion Wagon, 10 ans, le 14 novembre 1996 en plein centre d’Agen (Lot-et-Garonne). Son histoire a profondément marqué les Français. Jamais auparavant une disparition d’enfant n’avait été autant relayée : tout le monde se souvient du visage de la fillette imprimé sur dix millions de briques de lait. Près de 30 ans plus tard, la vérité est peut-être enfin à portée de main. Car deux pistes ont peut-être été négligées. D’abord, celle de François Vérove, alias « le Grêlé » : le mode opératoire du kidnappeur de Marion rappelle ce prédateur sexuel qui s’est suicidé en septembre 2021. Et puis il y a cet autre suspect, interrogé dès le début de l’enquête : les enquêteurs disposaient d’un témoignage l’incriminant mais une décision inattendue avait éloigné les soupçons qui pesaient sur lui…
  • Viols de Mazan : j’ai épousé un monstre (2/2)
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    Viols de Mazan : j’ai épousé un monstre (2/2)
    52:15Aujourd'hui
    Magazine | CrimeMardi 17 septembre 2024. À l’intérieur du tribunal d’Avignon (Vaucluse), une femme d’une soixantaine d’années est acclamée par la foule. Telle une héroïne, une icône, une haie d’honneur lui est même réservée. La scène est étonnante, rarissime dans une enceinte judiciaire. Gisèle Pelicot était encore inconnue du grand public quelques jours plus tôt. Mais l’horreur des viols dont elle a été victime et son courage au moment d’affronter le procès de son bourreau ont propulsé son nom et son visage à la une des médias, et bouleversé la France entière. Car l’homme dans le box des accusés n’est pas n’importe qui : Dominique Pelicot, le mari de Gisèle. Pendant près de dix ans, de juillet 2011 à octobre 2020, Dominique Pelicot aurait invité des hommes à son domicile à l’insu de son épouse. Selon les enquêteurs, Gisèle aurait subi une centaine d’abus sexuels de la part d’inconnus sans se douter de rien. Pour s’assurer qu’elle se prêterait sans sourciller aux jeux pervers de son époux, ce dernier lui administrait de puissants anxiolytiques qu’il écrasait dans son dîner. Comment cet homme au-dessus de tout soupçon, mari aimant et grand-père sympathique, aurait-il pu imaginer et mettre à exécution un stratagème aussi démoniaque ? C’est la découverte de vidéos filmées et soigneusement répertoriées par Dominique Pelicot qui a révélé l’ampleur de l’affaire. Sur les images, 92 viols sont recensés par la police, et autant d’auteurs présumés. 51 d’entre eux ont été formellement identifiés : des hommes de tous âges, de tous milieux sociaux et de toutes professions. Ils sont actuellement jugés aux côtés de Dominique Pelicot devant la cour criminelle du Vaucluse. Parmi ces co-accusés, des cas à part, des « disciples » à qui Dominique Pélicot aurait indiqué la marche à suivre pour droguer à leur tour leurs épouses. Pire encore, l’ombre de Dominique Pelicot plane aussi sur une tentative de viol et un meurtre précédé de viol commis dans les années 1990 en région parisienne. Les victimes travaillaient dans des agences immobilières et auraient été approchées selon un scénario identique. Le mari de Gisèle Pelicot est-il vraiment l’auteur des faits ? Et pourrait-il être impliqué dans d’autres affaires ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur le terrible incendie qui a failli coûter la vie à Aurélie Mignot le 28 avril 2019 à La Flèche, près du Mans (Sarthe). Transférée à l’hôpital dans un état grave, le corps brûlé à 60 %, la mère de famille s’en sort comme par miracle après quatre mois en soins intensifs. En réalité, il s’agit d’une tentative de meurtre. En effet, le corps d’Aurélie a été aspergé d’essence pendant son sommeil, avant d’être embrasé au chalumeau ! Qui pouvait en vouloir à la mère de famille au point de la brûler vive ? Aurélie ne peut s’empêcher de repenser au comportement plus que troublant de Stéphane, son compagnon, le père de ses enfants. La nuit de l’incendie, il s’est précipité dehors, soi-disant pour appeler les secours, laissant sa compagne et leurs deux fils en proie aux flammes…
  • Viols de Mazan : j’ai épousé un monstre (1/2)
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    Viols de Mazan : j’ai épousé un monstre (1/2)
    53:51Hier
    Magazine | CrimeMardi 17 septembre 2024. À l’intérieur du tribunal d’Avignon (Vaucluse), une femme d’une soixantaine d’années est acclamée par la foule. Telle une héroïne, une icône, une haie d’honneur lui est même réservée. La scène est étonnante, rarissime dans une enceinte judiciaire. Gisèle Pelicot était encore inconnue du grand public quelques jours plus tôt. Mais l’horreur des viols dont elle a été victime et son courage au moment d’affronter le procès de son bourreau ont propulsé son nom et son visage à la une des médias, et bouleversé la France entière. Car l’homme dans le box des accusés n’est pas n’importe qui : Dominique Pelicot, le mari de Gisèle. Pendant près de dix ans, de juillet 2011 à octobre 2020, Dominique Pelicot aurait invité des hommes à son domicile à l’insu de son épouse. Selon les enquêteurs, Gisèle aurait subi une centaine d’abus sexuels de la part d’inconnus sans se douter de rien. Pour s’assurer qu’elle se prêterait sans sourciller aux jeux pervers de son époux, ce dernier lui administrait de puissants anxiolytiques qu’il écrasait dans son dîner. Comment cet homme au-dessus de tout soupçon, mari aimant et grand-père sympathique, aurait-il pu imaginer et mettre à exécution un stratagème aussi démoniaque ? C’est la découverte de vidéos filmées et soigneusement répertoriées par Dominique Pelicot qui a révélé l’ampleur de l’affaire. Sur les images, 92 viols sont recensés par la police, et autant d’auteurs présumés. 51 d’entre eux ont été formellement identifiés : des hommes de tous âges, de tous milieux sociaux et de toutes professions. Ils sont actuellement jugés aux côtés de Dominique Pelicot devant la cour criminelle du Vaucluse. Parmi ces co-accusés, des cas à part, des « disciples » à qui Dominique Pélicot aurait indiqué la marche à suivre pour droguer à leur tour leurs épouses. Pire encore, l’ombre de Dominique Pelicot plane aussi sur une tentative de viol et un meurtre précédé de viol commis dans les années 1990 en région parisienne. Les victimes travaillaient dans des agences immobilières et auraient été approchées selon un scénario identique. Le mari de Gisèle Pelicot est-il vraiment l’auteur des faits ? Et pourrait-il être impliqué dans d’autres affaires ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur le terrible incendie qui a failli coûter la vie à Aurélie Mignot le 28 avril 2019 à La Flèche, près du Mans (Sarthe). Transférée à l’hôpital dans un état grave, le corps brûlé à 60 %, la mère de famille s’en sort comme par miracle après quatre mois en soins intensifs. En réalité, il s’agit d’une tentative de meurtre. En effet, le corps d’Aurélie a été aspergé d’essence pendant son sommeil, avant d’être embrasé au chalumeau ! Qui pouvait en vouloir à la mère de famille au point de la brûler vive ? Aurélie ne peut s’empêcher de repenser au comportement plus que troublant de Stéphane, son compagnon, le père de ses enfants. La nuit de l’incendie, il s’est précipité dehors, soi-disant pour appeler les secours, laissant sa compagne et leurs deux fils en proie aux flammes…
  • Laure Zacchello : une nouvelle affaire Jubillar ? (2/2)
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    Laure Zacchello : une nouvelle affaire Jubillar ? (2/2)
    48:26Hier
    Magazine | CrimeLaure Zacchello, une mère de famille de 43 ans originaire d’Urrugne (Pyrénées-Atlantiques), n’a plus donné signe de vie depuis le 21 juin dernier. Cette inquiétante disparition cacherait-elle un féminicide ? C’est l’intime conviction des enquêteurs. Le mari de Laure, Alexis Juret, est actuellement en détention provisoire pour meurtre sur conjoint. À première vue pourtant, tout semble écarter la piste du mari. Le jour de la disparition de sa femme, il avait été retrouvé dans le jardin du domicile familial, inconscient et ensanglanté, un parpaing à côté de la tête. Seulement, pour les enquêteurs, il s’agirait d’une mise en scène pour camoufler son crime. En effet, depuis plusieurs mois, Laure aurait confié à ses proches avoir peur pour sa vie. Ne supportant plus les éclats de colère et les crises de jalousie de son mari, elle avait demandé le divorce. Mais Alexis, lui, n’aurait pas accepté la rupture et, en représailles, aurait fait vivre à sa femme un enfer. Laure était tellement apeurée qu’elle mettait une chaise derrière la porte ou entourait d’objets le canapé sur lequel elle dormait pour s’assurer d’entendre son mari arriver. Et ce n’est pas tout : l’homme a un profil pour le moins inquiétant. Survivaliste, il posséderait plusieurs caches dans la montagne et disposait chez lui d’un véritable arsenal de guerre : deux armoires remplies d’armes à feu. Et dans le lot, plusieurs pistolets mitrailleurs et automatiques ont disparu. Alors, qu’est-il vraiment arrivé à Laure Zacchello ? Son mari, qui nie toute implication et jure être atteint d’amnésie, dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la mort de Raynald Barguet le 14 février 2016 dans le camp des gens du voyage de Maldormir, près de Marseillan (Hérault). Vers 3 heures du matin, un portable se met à sonner. Le jeune homme de 23 ans, qui dormait tranquillement dans sa caravane, décroche : une voix lui demande de sortir sur le champ. Raynald s’exécute sans se méfier. À peine dehors, une balle à la poitrine, puis une autre à l’épaule. Il ne survivra pas à ses blessures. L’affaire pourrait ressembler à un règlement de comptes. En réalité, l’enquête va révéler que c’est une rivalité sentimentale qui serait à l’origine de l’assassinat. En remontant le passé amoureux de la victime, les gendarmes ne tardent pas à soupçonner Alexandre Petremann, l’homme qui est aujourd’hui en couple avec l’ex-compagne de Raynald. Et le tireur présumé de raconter l’incroyable piège qu’il aurait préparé avec la complicité de deux membres de sa belle-famille pourtant au-dessus de tout soupçon…
  • Laure Zacchello : une nouvelle affaire Jubillar ? (1/2)
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    Laure Zacchello : une nouvelle affaire Jubillar ? (1/2)
    54:02Hier
    Magazine | CrimeLaure Zacchello, une mère de famille de 43 ans originaire d’Urrugne (Pyrénées-Atlantiques), n’a plus donné signe de vie depuis le 21 juin dernier. Cette inquiétante disparition cacherait-elle un féminicide ? C’est l’intime conviction des enquêteurs. Le mari de Laure, Alexis Juret, est actuellement en détention provisoire pour meurtre sur conjoint. À première vue pourtant, tout semble écarter la piste du mari. Le jour de la disparition de sa femme, il avait été retrouvé dans le jardin du domicile familial, inconscient et ensanglanté, un parpaing à côté de la tête. Seulement, pour les enquêteurs, il s’agirait d’une mise en scène pour camoufler son crime. En effet, depuis plusieurs mois, Laure aurait confié à ses proches avoir peur pour sa vie. Ne supportant plus les éclats de colère et les crises de jalousie de son mari, elle avait demandé le divorce. Mais Alexis, lui, n’aurait pas accepté la rupture et, en représailles, aurait fait vivre à sa femme un enfer. Laure était tellement apeurée qu’elle mettait une chaise derrière la porte ou entourait d’objets le canapé sur lequel elle dormait pour s’assurer d’entendre son mari arriver. Et ce n’est pas tout : l’homme a un profil pour le moins inquiétant. Survivaliste, il posséderait plusieurs caches dans la montagne et disposait chez lui d’un véritable arsenal de guerre : deux armoires remplies d’armes à feu. Et dans le lot, plusieurs pistolets mitrailleurs et automatiques ont disparu. Alors, qu’est-il vraiment arrivé à Laure Zacchello ? Son mari, qui nie toute implication et jure être atteint d’amnésie, dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la mort de Raynald Barguet le 14 février 2016 dans le camp des gens du voyage de Maldormir, près de Marseillan (Hérault). Vers 3 heures du matin, un portable se met à sonner. Le jeune homme de 23 ans, qui dormait tranquillement dans sa caravane, décroche : une voix lui demande de sortir sur le champ. Raynald s’exécute sans se méfier. À peine dehors, une balle à la poitrine, puis une autre à l’épaule. Il ne survivra pas à ses blessures. L’affaire pourrait ressembler à un règlement de comptes. En réalité, l’enquête va révéler que c’est une rivalité sentimentale qui serait à l’origine de l’assassinat. En remontant le passé amoureux de la victime, les gendarmes ne tardent pas à soupçonner Alexandre Petremann, l’homme qui est aujourd’hui en couple avec l’ex-compagne de Raynald. Et le tireur présumé de raconter l’incroyable piège qu’il aurait préparé avec la complicité de deux membres de sa belle-famille pourtant au-dessus de tout soupçon…

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