L'an dernier, plus d'un million et demi de Français ont choisi le camping-car comme mode de vacances, un engouement encore renforcé par les confinements successifs.
À la campagne ou à la mer, en famille ou entre amis, depuis la crise sanitaire, de plus en plus de Français craquent pour une résidence secondaire. En un an, la demande a augmenté de 30%. Alors, est-il encore possible de dénicher une maison de rêve à petits prix ? Des bricoleurs amateurs peuvent-ils faire face à de gros chantiers de rénovation ? Est-il possible de mener ces projets à bien en gardant un budget maîtrisé ? Estelle et Stefan louent un petit appartement à Paris. Mais une folle envie de verdure a poussé ce couple à acquérir une chaumière typique en Normandie, à un prix à peine croyable : 50 000 euros pour 100m2, deux dépendances et un grand jardin. Ils ont hâte d'inviter leurs amis dans leur demeure à colombages, mais ces quadragénaires doivent d'abord s'attaquer à un chantier pharaonique qui leur réserve de bonnes et de mauvaises surprises. Dans l'Aveyron, c'est le projet malin d'une bande de copains : devenir propriétaire pour 1 000 euros de mise de fond et 85 euros de remboursement chaque mois. Ils sont onze et viennent d'acheter ensemble, pour 89 000 euros, une propriété en bord de rivière et ses 4 000 m2 de terrain. Nouvelles applications pour gérer des décisions de copropriété grâce à des QR codes, barbecues, apéros et gros travaux : à onze, rien de les arrête ! À dix minutes du parc régional du Perche, dans l'Orne, c'est un projet familial ambitieux dans lequel se sont lancés Alexandra, sa sœur Stéphanie, et Franck son compagnon. Tous les trois viennent de s'offrir une résidence secondaire. L'objectif ? Avoir un havre de paix, pour eux et leurs enfants. Dans l'Yonne, pour 190 000 euros, ils ont trouvé une jolie maison de maître qu'il faut entièrement rénover. Pour éviter de dépasser leur budget, chaque membre de la famille tente de réaliser une partie des travaux. Acheter une maison de 100 m2 avec vue imprenable sur la mer et la plage à deux minutes, pour 75 000 euros, c'est possible… en Sicile. Christine et Dominique, originaires d'Étretat en Seine-Maritime, ont trouvé la perle rare et comptent bien ne pas s'arrêter là. Alors qu'ils terminent les travaux pour y passer leur premier été, ils sont déjà à la recherche d'une deuxième propriété à petit prix sur leur île. La Sicile regorge de bons plans.
Comment dénicher une maison de campagne à petits prix ? Peut-on mener à bien soi-même les travaux quand on est débutant ? Et pour limiter les frais, est-ce une bonne idée de louer sa maison de vacances lorsque l'on n'en profite pas ? Au bord de la mer ou à la campagne, les équipes de Zone Interdite ont suivi des Français qui ont craqué pour une résidence secondaire. Jamais ils n'ont été aussi nombreux à en rêver : la demande a augmenté de 30% cette année. Amandine et Florian, 26 et 27 ans, vivent dans la banlieue lyonnaise. Le couple vient de se lancer un défi complètement fou : rénover du sol au plafond un hôtel datant de 1850 pour en faire une maison de campagne. Pour 80 000 euros ils ont acquis une bâtisse de 200 m² et douze chambres, idéalement située dans le Beaujolais, tout près d'un lac. Avec un budget travaux limité et de faibles connaissances en bricolage, Amandine et Florian vont en quelques mois accomplir un miracle : métamorphoser une ruine en une maison digne d'un magazine de décoration. Avec ce bien original, doté d'une immense verrière, ils pensent avoir fait une très bonne affaire. Et ils songent déjà à le louer pour des fêtes entre amis. Depuis qu'ils sont en couple, Florent et Kevin ont un rêve, devenir propriétaires, mais le budget de ces Parisiens ne leur permet même pas d'acheter un studio dans la capitale. Alors, les deux trentenaires viennent d'acquérir, pour 50 000 euros, une grande maison dans le Morvan, en Bourgogne, avec près de 2 000 m² de terrain. Ils vont faire une grande partie des travaux eux-mêmes, une expérience inédite et une occasion de tester, sur le chantier, la solidité de leur couple. Originaires de Bretagne, Adeline, 38 ans, Johan, 42 ans, et leurs trois garçons sont tombé amoureux du Portugal. En décembre dernier, ils ont acheté une maison de vacances de plus de 100 m², tout près de la plage, au sud du Portugal. Son prix : 120 000 euros, deux fois moins cher que l'équivalent en France. Et, cerise sur le gâteau, ils ont découvert une fois sur place qu'ils étaient également propriétaires d'une dépendance de 40 m² à retaper. Ils vont la rénover en famille avec leurs parents pour la mettre en location ce qui leur permettra d'amortir rapidement leur crédit. Près de Tours (Indre-et-Loire), Juliette et son frère Arthur se lancent dans un projet insolite. Leurs parents ont acquis il y a vingt ans une propriété de 4 hectares pour 180 000 euros. Mais faute de temps et d'argent, ils ont laissé à l'abandon une dépendance atypique : un moulin à eau. Le frère et la sœur ont emprunté 70 000 euros pour le rénover et en faire leur maison de campagne commune. Avec leurs amis, leurs parents et beaucoup d'huile de coude, ils s'attaquent à un chantier colossal. En Aveyron, nous retrouverons les 11 copains qui se sont lancés ensemble dans l'achat d'une grande maison sur les bords du Lot. Pour financer le bien et les travaux, ils ont créé une SCI, une société civile immobilière : ils ont fait une mise de fond de 1 000 euros chacun et remboursent 85 euros par mois. Un moyen très astucieux de s'offrir une maison de vacances pour presque rien !
Avec ses paysages de carte postale et surtout ses prix très attractifs, l'Espagne et ses îles restent la destination préférée des Français. Avec plus de dix millions de touristes chaque été, c'est le deuxième pays le plus visité au monde après la France.
Après un an et demi de crise, l'horizon s'éclaircit enfin sur le front sanitaire. Certains Français ont eu ces derniers mois le déclic qui leur manquait pour oser changer de vie. Loin de les condamner à la morosité, cette période inédite les a poussés à se réinventer : un tiers des citadins se dit aujourd'hui prêt à vivre à la campagne, tandis qu'un salarié sur cinq entreprend une reconversion professionnelle. À Lyon (Rhône), Maïté, responsable marketing, et Vincent, employé comme cuisinier dans une brasserie, lassés des bruits de la ville et de leur vie à 100 à l'heure, ont décidé de tout plaquer pour reprendre une auberge-camping au cœur de la Drôme et s'y installer avec leur fils de 9 ans. Un lieu atypique et une entreprise très ambitieuse pour le couple dont l'objectif est d'afficher complet dès cet été. Pour Carène, qui travaille dans l'évènementiel, et You Liang, informaticien, adieu le studio de 30 m² à Paris. Pour réaliser son rêve de vivre au plus près de la nature, le couple de trentenaires s'est lancé dans la construction d'une petite maison en bois nomade, une tiny-house. Un défi personnel : ils ont choisi de la construire seuls, sous la supervision d'un artisan en Charentes où ils se sont installés le temps du chantier. Ils se sont donnés six mois pour démarrer une nouvelle activité itinérante, offrant leurs services aux agriculteurs et aux entreprises locales au fil de leur route. Il n'est pas nécessaire de tout quitter pour se réinventer. La preuve avec Frédéric, chef étoilé d'un restaurant gastronomique étoilé et hôtelier à Charolles, en Bourgogne (Saône-et-Loire). Fermé pendant de longs mois, ce jeune patron a dû faire preuve d'imagination pour sauver les emplois de ses quarante salariés et faire perdurer cette affaire familiale héritée de ses parents. Frédéric et ses équipes ont profité de la période pour rénover une partie de l'établissement et imaginer de nouveaux services à destination d'une clientèle désormais majoritairement française. Enfin, pour Christelle et Thierry, 50 ans, nouvelle vie rime avec grands espaces. Originaire de la banlieue bordelaise où il a toujours vécu, le couple a décidé de s'installer de l'autre côté de l'Atlantique, au Canada. Nouveau pays et nouveau métier pour chacun d'eux, ils vont devoir trouver leurs marques et s'acclimater dans un contexte encore troublé.
Le zoo de Beauval, dans le Loir-et-Cher, a fait la une de l'actualité au début du mois avec la naissance de deux bébés pandas. Quatre ans après la naissance de Yuan Meng, l'arrivée de ces petits jumeaux marque une nouvelle victoire pour le parc.
Guerres de voisinage, litiges à la consommation, malfaçons ou différends entre propriétaires et locataires pour des loyers impayés, les conflits du quotidien empoisonnent la vie de milliers de Français.
Partir en week-end dans sa résidence secondaire, un rêve pour de nombreux Français ! Les confinements et couvre-feux n’ont fait qu’accélérer la tendance. De plus en plus de citadins rêvent de posséder leur coin de verdure.
La France croule sous ses déchets ! Plus de 320 millions de tonnes générées chaque année, dont 40 millions par les seuls ménages. Le discours officiel promet toujours plus de recyclage.
Ce sont des antidouleurs prescrits par des médecins, et pourtant ils peuvent provoquer une addiction. On les appelle opioïdes et ils sont vendus sous le nom de paracétamol codéiné, morphine, ou encore tramadol.
Ces trois familles françaises ont décidé de changer de vie ! Dans un pays voisin ou à l’autre bout du monde, avec un projet professionnel ou une passion, sur la terre ferme ou en pleine mer… Elles ont tout quitté pour tout recommencer.
Choisir de bouleverser son destin et repartir de zéro à des milliers de kilomètres : un pari un peu fou auquel beaucoup pensent un jour sans jamais oser.
L'écoconstruction séduit de plus en plus de foyers. Des Français qui souhaitent vivre dans des maisons où se conjuguent écologie, modernité et baisse des factures d’énergie.
Le sentiment d’insécurité progresse. Neuf Français sur dix pensent que la justice doit être plus sévère avec les délinquants. Certains citoyens décident même d’agir sans l’aide de l’État, seuls ou collectivement.
Près d’un million de personnes en France oublient peu à peu qui elles sont. Elles sont atteintes de la maladie d’Alzheimer. Malgré les récentes avancées de la recherche, il n’existe encore aucun traitement.
Disneyland Paris, la première destination touristique d’Europe, fête ses trente ans. Inauguré le 12 avril 1992, le parc d’attractions, symbole de la culture américaine, génère aujourd’hui 6% des revenus touristiques en France.