La dernière fois que Céline Gaborieau a vu sa mère, elle avait 18 ans. Depuis le 10 juin 1999, Michèle Gaborieau, 56 ans, n’est jamais réapparue, ni elle, ni la citadine de couleur blanche qu’elle conduisait. Mais alors que les policiers imaginent au mieux un départ volontaire, au pire un suicide, Céline est convaincue que sa mère a en réalité été tuée. Au fil des années, avec l’aide d’enquêteurs privés, elle a amassé les témoignages et les indices. Et tout convergerait vers un seul homme : Jean-Michel, l’époux de Michèle et surtout… son propre père ! Dans l’espoir que la justice entende enfin son appel à rouvrir le dossier, Céline a accepté de livrer dans « Enquêtes criminelles » ses terribles soupçons. Mais pourquoi ce libraire a priori sans histoire est-il dans le viseur de sa fille ? D’abord parce qu’il est le dernier à l’avoir vue vivante. Le soir de sa disparition, Michèle Gaborieau a dîné dans le 13e arrondissement de Paris avec son époux Jean-Michel, dont elle était séparée depuis quelques mois. La mère de famille, toujours amoureuse, espérait recoller les morceaux avec ce mari pourtant volage, joueur et porté sur la boisson. Certes, ces défauts ne font pas de Jean-Michel Gaborieau un meurtrier. Mais son attitude alors que sa femme demeurait introuvable a de quoi surprendre : l’homme ne semble pas vraiment inquiet et surtout il va tout de suite lorgner sur la fortune personnelle de Michèle quitte à entrer en conflit avec ses enfants… À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la mort d’Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, retrouvé carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée le 7 décembre 2016 non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé. L’homme a beau nier toute implication, il est pourtant le seul à avoir un mobile convaincant : depuis des mois, sa femme Julie le trompe avec son frère Alexandre ! Une double trahison que la police le soupçonne de ne pas avoir supporté.
La dernière fois que Céline Gaborieau a vu sa mère, elle avait 18 ans. Depuis le 10 juin 1999, Michèle Gaborieau, 56 ans, n’est jamais réapparue, ni elle, ni la citadine de couleur blanche qu’elle conduisait. Mais alors que les policiers imaginent au mieux un départ volontaire, au pire un suicide, Céline est convaincue que sa mère a en réalité été tuée. Au fil des années, avec l’aide d’enquêteurs privés, elle a amassé les témoignages et les indices. Et tout convergerait vers un seul homme : Jean-Michel, l’époux de Michèle et surtout… son propre père ! Dans l’espoir que la justice entende enfin son appel à rouvrir le dossier, Céline a accepté de livrer dans « Enquêtes criminelles » ses terribles soupçons. Mais pourquoi ce libraire a priori sans histoire est-il dans le viseur de sa fille ? D’abord parce qu’il est le dernier à l’avoir vue vivante. Le soir de sa disparition, Michèle Gaborieau a dîné dans le 13e arrondissement de Paris avec son époux Jean-Michel, dont elle était séparée depuis quelques mois. La mère de famille, toujours amoureuse, espérait recoller les morceaux avec ce mari pourtant volage, joueur et porté sur la boisson. Certes, ces défauts ne font pas de Jean-Michel Gaborieau un meurtrier. Mais son attitude alors que sa femme demeurait introuvable a de quoi surprendre : l’homme ne semble pas vraiment inquiet et surtout il va tout de suite lorgner sur la fortune personnelle de Michèle quitte à entrer en conflit avec ses enfants… À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la mort d’Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, retrouvé carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée le 7 décembre 2016 non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé. L’homme a beau nier toute implication, il est pourtant le seul à avoir un mobile convaincant : depuis des mois, sa femme Julie le trompe avec son frère Alexandre ! Une double trahison que la police le soupçonne de ne pas avoir supporté.
Lorsque le 12 janvier 2018, Joséphine Bernard, 27 ans, est retrouvée morte dans son appartement de Bailly-Romainvilliers (Seine-et-Marne), les enquêteurs concluent sans nul doute au suicide. Pourtant, Sylvie, sa mère, est quant à elle convaincue qu’il s’agit d’un meurtre… Pour « Enquêtes criminelles », et pour la première fois, Sylvie Bernard raconte son combat pour la vérité. Pendant des mois, épaulée par son mari Richard, elle a enquêté sur la mort de sa fille et découvert que les investigations sont truffées d’incohérences, voire, pire, de négligences. L’ordinateur et le téléphone de Joséphine n’ont pas été étudiés, pas plus qu’un podomètre qui indiquerait pourtant que la victime avait reçu de la visite le soir du drame. Et, plus effarant encore, deux couteaux saisis sur les lieux ont mystérieusement disparu… Une somme d’erreurs aujourd’hui reconnue par la justice. Cinq ans après le décès de Joséphine Bernard, l’affaire, classée en suicide, est désormais rouverte pour homicide. Il faut dire que la position dans laquelle elle a été retrouvée pose question : Joséphine était pendue à une patère murale à 1 mètre 50 seulement du sol, en position semi-assise. Et puis professionnellement tout allait bien pour la jeune femme : à Disneyland Paris où elle travaillait, elle était épanouie. En revanche, sa relation sentimentale avec un homme marié et père de famille inquiétait ses proches… et aurait été découverte par l’épouse bafouée. Alors, le couple serait-il mêlé à la mort de la jeune femme ? Fait troublant : dans le téléphone de l’homme à la double vie, tous les échanges avec sa femme et sa maîtresse ont été effacés… Simple coïncidence ? En seconde partie d’émission, « Enquêtes criminelles » reviendra sur la dernière soirée de Laëtitia Hemery, une mère de famille de 31 ans tuée le 1er janvier 2020 à Toulon (Var). Quelques heures plus tôt, la jeune femme a dit à tout le monde qu’elle était sortie avec des amies. En réalité, elle a rejoint son ancien compagnon, Mickaël Reynaud, qu’elle fréquente depuis trois ans. Trois ans de menaces et de violences… Laëtitia Hemery sera la première femme de l’année 2020 à décéder sous les coups de son conjoint. Et fait rare : l’intégralité de la soirée a été filmée par des caméras de vidéosurveillance ! Des enregistrements accablants pour Mickaël Reynaud…
C’est une disparition dont le tragique épilogue a ému la France. En avril 2018, lorsque la jeune Angélique Six, 13 ans, est retrouvée morte après trois jours d’angoisse, le retentissement est immense.
Rien ne pouvait préparer les filles de Sylviane et Jean-Claude Muller à ce qu’elles allaient vivre. Le 15 décembre 2019, Margaux, 24 ans, se rend chez ses parents à Izon, une banlieue pavillonnaire à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux (Gironde). À son arrivée, la jeune femme découvre les corps suppliciés de ses parents dans leur chambre à coucher. Jean-Claude, 58 ans, et Sylviane, 50 ans, ont été tués de plusieurs coups de couteau. Et comble de l’horreur : la mère de famille porte aussi tous les stigmates d’une agression sexuelle. Pendant près de quatre ans, Margaux et sa sœur de 28 ans, Natacha, vont devoir endurer le calvaire d’une enquête qui s’enlise. Crime crapuleux, règlement de compte… les gendarmes explorent toutes les pistes. Sauf qu’en fait, il ne fallait pas chercher bien loin. En novembre 2023, trahi par son ADN retrouvé sous les ongles de Sylviane Muller, David Daouphars passe aux aveux. L’homme de 53 ans n’est pas un inconnu : il était sous le nez des enquêteurs depuis le début, de l’autre côté de la route départementale. Tel un voisin prévenant, il avait même proposé à Natacha d’utiliser sa salle de bain, le jour de la terrible découverte, pour qu’elle reprenne ses esprits. Pour brouiller les pistes, il avait même répondu face caméra aux questions d’un journaliste de la télévision régionale ! Pourquoi ce père de famille a priori au-dessus de tout soupçon aurait-il commis un crime aussi atroce ? Le suspect, qui reconnaît le double meurtre, affirme qu’il entretenait une relation sentimentale avec Sylviane Muller. Une liaison découverte ce soir-là par son mari Jean-Claude, provoquant une bagarre qui aurait dégénéré. Mais dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite de ce document, retour sur la mort de Véronique Duchesne, en octobre 2010 sur une plage au nord de Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Alors qu'après sa disparition, deux jours plus tôt, Thierry Meunier, son mari, évoque un probable suicide, l’autopsie va déterminer qu’en réalité, la victime âgée de 47 ans a été frappée et étranglée. Alors, l’époux a-t-il tout simplement tiré des conclusions hâtives ? Ou aurait-il cherché à orienter les enquêteurs sur une fausse piste ? Avant sa mise en examen et son placement en détention provisoire en décembre dernier, Thierry Meunier clamait son innocence devant les caméras d’« Enquêtes criminelles ».
Rien ne pouvait préparer les filles de Sylviane et Jean-Claude Muller à ce qu’elles allaient vivre. Le 15 décembre 2019, Margaux, 24 ans, se rend chez ses parents à Izon, une banlieue pavillonnaire à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux (Gironde). À son arrivée, la jeune femme découvre les corps suppliciés de ses parents dans leur chambre à coucher. Jean-Claude, 58 ans, et Sylviane, 50 ans, ont été tués de plusieurs coups de couteau. Et comble de l’horreur : la mère de famille porte aussi tous les stigmates d’une agression sexuelle. Pendant près de quatre ans, Margaux et sa sœur de 28 ans, Natacha, vont devoir endurer le calvaire d’une enquête qui s’enlise. Crime crapuleux, règlement de compte… les gendarmes explorent toutes les pistes. Sauf qu’en fait, il ne fallait pas chercher bien loin. En novembre 2023, trahi par son ADN retrouvé sous les ongles de Sylviane Muller, David Daouphars passe aux aveux. L’homme de 53 ans n’est pas un inconnu : il était sous le nez des enquêteurs depuis le début, de l’autre côté de la route départementale. Tel un voisin prévenant, il avait même proposé à Natacha d’utiliser sa salle de bain, le jour de la terrible découverte, pour qu’elle reprenne ses esprits. Pour brouiller les pistes, il avait même répondu face caméra aux questions d’un journaliste de la télévision régionale ! Pourquoi ce père de famille a priori au-dessus de tout soupçon aurait-il commis un crime aussi atroce ? Le suspect, qui reconnaît le double meurtre, affirme qu’il entretenait une relation sentimentale avec Sylviane Muller. Une liaison découverte ce soir-là par son mari Jean-Claude, provoquant une bagarre qui aurait dégénéré. Mais dit-il vraiment toute la vérité ? À la suite de ce document, retour sur la mort de Véronique Duchesne, en octobre 2010 sur une plage au nord de Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor). Alors qu'après sa disparition, deux jours plus tôt, Thierry Meunier, son mari, évoque un probable suicide, l’autopsie va déterminer qu’en réalité, la victime âgée de 47 ans a été frappée et étranglée. Alors, l’époux a-t-il tout simplement tiré des conclusions hâtives ? Ou aurait-il cherché à orienter les enquêteurs sur une fausse piste ? Avant sa mise en examen et son placement en détention provisoire en décembre dernier, Thierry Meunier clamait son innocence devant les caméras d’« Enquêtes criminelles ».
La dernière fois que Céline Gaborieau a vu sa mère, elle avait 18 ans. Depuis le 10 juin 1999, Michèle Gaborieau, 56 ans, n’est jamais réapparue, ni elle, ni la citadine de couleur blanche qu’elle conduisait. Mais alors que les policiers imaginent au mieux un départ volontaire, au pire un suicide, Céline est convaincue que sa mère a en réalité été tuée. Au fil des années, avec l’aide d’enquêteurs privés, elle a amassé les témoignages et les indices. Et tout convergerait vers un seul homme : Jean-Michel, l’époux de Michèle et surtout… son propre père ! Dans l’espoir que la justice entende enfin son appel à rouvrir le dossier, Céline a accepté de livrer dans « Enquêtes criminelles » ses terribles soupçons. Mais pourquoi ce libraire a priori sans histoire est-il dans le viseur de sa fille ? D’abord parce qu’il est le dernier à l’avoir vue vivante. Le soir de sa disparition, Michèle Gaborieau a dîné dans le 13e arrondissement de Paris avec son époux Jean-Michel, dont elle était séparée depuis quelques mois. La mère de famille, toujours amoureuse, espérait recoller les morceaux avec ce mari pourtant volage, joueur et porté sur la boisson. Certes, ces défauts ne font pas de Jean-Michel Gaborieau un meurtrier. Mais son attitude alors que sa femme demeurait introuvable a de quoi surprendre : l’homme ne semble pas vraiment inquiet et surtout il va tout de suite lorgner sur la fortune personnelle de Michèle quitte à entrer en conflit avec ses enfants… À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la mort d’Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, retrouvé carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée le 7 décembre 2016 non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé. L’homme a beau nier toute implication, il est pourtant le seul à avoir un mobile convaincant : depuis des mois, sa femme Julie le trompe avec son frère Alexandre ! Une double trahison que la police le soupçonne de ne pas avoir supporté.
La dernière fois que Céline Gaborieau a vu sa mère, elle avait 18 ans. Depuis le 10 juin 1999, Michèle Gaborieau, 56 ans, n’est jamais réapparue, ni elle, ni la citadine de couleur blanche qu’elle conduisait. Mais alors que les policiers imaginent au mieux un départ volontaire, au pire un suicide, Céline est convaincue que sa mère a en réalité été tuée. Au fil des années, avec l’aide d’enquêteurs privés, elle a amassé les témoignages et les indices. Et tout convergerait vers un seul homme : Jean-Michel, l’époux de Michèle et surtout… son propre père ! Dans l’espoir que la justice entende enfin son appel à rouvrir le dossier, Céline a accepté de livrer dans « Enquêtes criminelles » ses terribles soupçons. Mais pourquoi ce libraire a priori sans histoire est-il dans le viseur de sa fille ? D’abord parce qu’il est le dernier à l’avoir vue vivante. Le soir de sa disparition, Michèle Gaborieau a dîné dans le 13e arrondissement de Paris avec son époux Jean-Michel, dont elle était séparée depuis quelques mois. La mère de famille, toujours amoureuse, espérait recoller les morceaux avec ce mari pourtant volage, joueur et porté sur la boisson. Certes, ces défauts ne font pas de Jean-Michel Gaborieau un meurtrier. Mais son attitude alors que sa femme demeurait introuvable a de quoi surprendre : l’homme ne semble pas vraiment inquiet et surtout il va tout de suite lorgner sur la fortune personnelle de Michèle quitte à entrer en conflit avec ses enfants… À la suite, « Enquêtes criminelles » s’intéressera à la mort d’Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, retrouvé carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée le 7 décembre 2016 non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé. L’homme a beau nier toute implication, il est pourtant le seul à avoir un mobile convaincant : depuis des mois, sa femme Julie le trompe avec son frère Alexandre ! Une double trahison que la police le soupçonne de ne pas avoir supporté.
15 janvier 2014, banlieue de Toulouse. Jennifer Dana a rendez-vous avec Mehdi, son ex-compagnon.
Lorsque Sébastien Megraud disparaît en mai 2013, son ex-compagne Vanessa a tout de suite compris que c’était grave. Jamais ce père de famille n’aurait abandonné ses deux filles, alors âgées de 8 et 10 ans.
Nathalie Renoux vous propose de vivre ou de revivre de grandes affaires criminelles qui font ou qui ont fait l'actualité. Qu'elles soient connues ou qu'elles le soient moins, les histoires que vous verrez racontent à chaque fois comment la vie de gens ordinaires peut, du jour au lendemain, basculer...
Agnetz (Oise), le 4 novembre 2019. Le corps sans vie de Roger Matassoli, un curé à la retraite, est découvert un crucifix enfoncé dans la gorge.
À la veille d’une étape judiciaire décisive dans l’affaire Dany Leprince, W9 propose le documentaire-événement où l’homme que la presse a surnommé le « boucher de la Sarthe » raconte comment il aurait été accusé à tort d’un quadruple meurtre. Sa version des faits, l’acharnement des journalistes, les éléments du dossier qui pèsent sur lui, et même ses doutes quant à l’identité du véritable meurtrier : il s’exprime sans tabou sur l’un des dossiers criminels les plus médiatisés de ces 30 dernières années. Thorigné-sur-Dué (Sarthe), le 5 septembre 1994. Christian Leprince, sa femme Brigitte et deux de leurs filles sont retrouvés à leur domicile, massacrés à l’arme blanche. Seule la benjamine de la famille, Solène, âgée de deux ans et demi, a été épargnée. Très vite, Dany, le propre frère et voisin de Christian, fait office de suspect idéal. À la suite de la découverte d’une reconnaissance de dette signée de sa main (10 000 francs, l’équivalent de 2300 euros à l’époque), les gendarmes l’imaginent tuant son frère cadet dont il jalousait la réussite professionnelle et financière. Pour Dany Leprince, c’est le début de la descente aux enfers, d’autant qu’il est aussi mis en cause par sa fille Célia, son épouse Martine ainsi que Solène, la petite rescapée. Placé en garde à vue quelques jours après le drame, Dany Leprince passe aux aveux. Des aveux qu’il estime aujourd’hui avoir été extorqués et sur lesquels il reviendra une semaine plus tard, sans que personne ne l’écoute. En décembre 1997, il est condamné à la prison à perpétuité assortie d’une période de sûreté de 22 ans. Une décision de justice aujourd’hui, près de 30 ans après, sous le coup d’une demande de révision… Alors, Dany Leprince aurait-il vraiment été condamné sans réelles preuves matérielles et scientifiques, comme il le prétend ? Et s’il était la victime d’une des plus grandes erreurs judiciaires que la France ait connue ? Accompagné des meilleurs spécialistes de l’affaire, il revient lui-même sur les étapes marquantes et les zones d’ombre de ce feuilleton judiciaire aux multiples rebondissements. Saura-t-il vous convaincre de son innocence ?
Son temps libre, Badr Smati le passe sur les routes du Maine-et-Loire à pédaler : l’homme de 33 ans est un coureur cycliste chevronné. Comment imaginer que cet entraînement de champion ait pu lui servir à dissimuler un meurtre ?
Le 7 décembre 2016, Alexandre Dubrunfaut, 29 ans, est retrouvé mort carbonisé dans les restes d’une voiture incendiée non loin de Valenciennes (Nord). Un mois plus tard, son frère David, 32 ans, est interpellé.