Nous sommes le 16 octobre 2020, en fin d'après-midi. À Conflans-Sainte-Honorine (Val-d'Oise), un professeur de collège rentre chez lui. Il s'appelle Samuel Paty. Il enseigne l'histoire-géographie. Il a 47 ans. Quelques minutes après sa sortie de l'établissement, il est sauvagement assassiné en pleine rue. Poignardé puis décapité. Son meurtrier ? Abdoullakh Anzorov, abattu quelques instants après les faits. Un jeune homme de 18 ans, radicalisé, qui venait de parcourir près de 80 kilomètres depuis Évreux en Normandie pour exécuter son crime. Pourquoi cet adolescent s'en est-il pris à un enseignant ? Comment s'est-il radicalisé ? Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles.

Novembre 2024 devant la cour spécialement composée : le procès de l'attentat contre Samuel Paty s'ouvre à Paris. L'assaillant direct, Abdoullakh Anzorov, a été abattu quelques minutes après les faits. Les mineurs impliqués, ont eux été jugés un an auparavant. Cette fois, ce sont huit adultes qui comparaissent. Parmi eux : deux complices d'Anzorov, mais aussi Brahim Chnina, parent d'élève, et Abdelhakim Sefrioui dont les vidéos matérialisent la "fatwa numérique" lancée à l'encontre du professeur assassiné. Quelques jours avant cette campagne de haine, Samuel Paty avait montré des caricatures du prophète musulman issues de "Charlie Hebdo". Face aux accusés, Gaëlle et Bernadette Paty, sœur et mère de l'enseignant. Comment ont-elles vécu ces sept semaines d'audience ? La voix du crime de ce second épisode sur l'assassinat de Samuel Paty, c'est Maître Virginie Leroy, avocate des parents et de Gaëlle, une des sœurs de l'enseignant. Elle nous livre, au micro de Thomas Prouteau, le récit du procès des huit personnes accusées d'avoir participé à l'engrenage ayant mené à l'attentat.

Le 16 octobre 2020, en fin d'après-midi, à Conflans-Sainte-Honorine, en région parisienne, un professeur de collège rentre chez lui. Il s'appelle Samuel Paty, 47 ans, et enseigne l'histoire-géographie. Quelques minutes après sa sortie du collège, il est sauvagement assassiné en pleine rue. Poignardé puis décapité par un jeune homme radicalisé. La France est sous le choc. Pourquoi cet enseignant a-t-il été pris pour cible ? Qui était ce passionné d'Histoire et de transmission devenue victime du terrorisme ? Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles.

Le 16 octobre 2020, Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie à Conflans-Saint-Honorine (Val-d'Oise) est décapité en pleine rue, juste à côté de son collège. L'assaillant, un jeune réfugié tchétchène radicalisé, est abattu. L'enquête va mettre au jour la "fatwa numérique" lancée par le père d'une collégienne, élève de Samuel Paty, et amplifiée par un islamiste militant. Selon l'accusation, ces deux hommes ont lancé la mécanique inexorable qui a mené à l'assassinat de Samuel Paty, ce qu'ils contestent. Au total quatorze personnes, mineures et majeures, seront jugées dans cette affaire. Quels ont été leurs rôles exact ? Que leur est-il reproché ? La voix du crime de cet épisode, c'est Maître Virginie Leroy, avocate des parents et d'une des sœurs de Samuel Paty. Elle raconte au micro de Thomas Prouteau comment elle a démêlé les nœuds de ce dossier tentaculaire et soutenu ses clients tout au long de la procédure.

Retour avec Philippe De Maria sur l'affaire Bétharram, du nom de cet établissement catholique près de Pau dont des dizaines d'anciens élèves dénoncent des méthodes cruels et même des crimes. Au commencement, il y a un lanceur d'alerte, Alain Esquerre, ancien élève de Bétharram où il fut frappé par un surveillant. En 2023, il croise dans la rue son ancien bourreau, libre comme l'air. C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase... Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Philippe De Maria du 27 février 2025.

Nous sommes au petit matin du 25 novembre 2024 aux Grésilles, un quartier populaire de Dijon. C'est ici que vit un certain Mohammed C. L'ADN de cet homme de 63 ans vient d'être retrouvé sur les scellés des dossiers Nathalie Boyer et Laïla Afif. Deux affaires jamais élucidées. Deux meurtres restés impunis.... Qui est cet homme, principal suspect dans ces deux affaires, dites des "disparues de l'Isère", et vieilles de plusieurs décennies ? Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles.